Alain Bublex
An American Landscape – Frame 260
© Alain Bublex
Courtesy Galerie GP & N Vallois, Paris
Alain Bublex
An American Landscape – Frame 260
© Alain Bublex
Courtesy Galerie GP & N Vallois, Paris
Alain Bublex
An American Landscape – For Your Own Safety
© Alain Bublex
Courtesy Galerie GP & N Vallois, Paris
Alain Bublex
An American Landscape – Frame 380
© Alain Bublex
Courtesy Galerie GP & N Vallois, Paris
Alain Bublex
An American Landscape – Closer and holt it still
© Alain Bublex
Courtesy Galerie GP & N Vallois, Paris
Vue de l’exposition « An American Landscape II (or the American musical industrial enamels)»
Galerie GP & N Vallois, Paris
05.03 – 10.04.2021
© Aurélien Mole
Vue de l’exposition « An American Landscape II (or the American musical industrial enamels)»
Galerie GP & N Vallois, Paris
05.03 – 10.04.2021
© Aurélien Mole
Vue de l’exposition « An American Landscape II (or the American musical industrial enamels)»
Galerie GP & N Vallois, Paris
05.03 – 10.04.2021
© Aurélien Mole
Vue de l’exposition « An American Landscape II (or the American musical industrial enamels)»
Galerie GP & N Vallois, Paris
05.03 – 10.04.2021
© Aurélien Mole
Quʼest-ce quʼun paysage américain ?
La phrase suggère des espaces sauvages, dʼemblématiques merveilles naturelles, et de charmantes petites villes parsemées sur le territoire. Elle peut évoquer les tableaux de Thomas Cole, la Hudson River School, les photographies dʼAnsel Adams, les Westerns de John Ford, ou même les publicités Marlboro ou General Motors. Mais un film dʼaction de Sylvester Stallone dans les années 80 ? Sans doute pas. Pourtant, comme le démontre Alain Bublex avec An American Landscape, la toile de fond du premier film sur John Rambo (First Blood, 1982) est un reflet, une célébration, et une perpétuation dʼune certaine vision du paysage américain — vision en grande partie façonnée par lʼhistoire de lʼart.
Extrait du texte de Mara Hoberman pour le communiqué de presse de l’exposition