Vue de l’exposition « Contemporary Grotesques »
Galerie GP & N Vallois, Paris
10.06.2011 – 30.07.2011
© Aurélien Mole
Vue de l’exposition « Contemporary Grotesques »
Galerie GP & N Vallois, Paris
10.06.2011 – 30.07.2011
© Aurélien Mole
Vue de l’exposition « Contemporary Grotesques »
Galerie GP & N Vallois, Paris
10.06.2011 – 30.07.2011
© Aurélien Mole
Vue de l’exposition « Contemporary Grotesques »
Galerie GP & N Vallois, Paris
10.06.2011 – 30.07.2011
© Aurélien Mole
Vue de l’exposition « Contemporary Grotesques »
Galerie GP & N Vallois, Paris
10.06.2011 – 30.07.2011
© Aurélien Mole
Vue de l’exposition « Contemporary Grotesques »
Galerie GP & N Vallois, Paris
10.06.2011 – 30.07.2011
© Aurélien Mole
Vue de l’exposition « Contemporary Grotesques »
Galerie GP & N Vallois, Paris
10.06.2011 – 30.07.2011
© Aurélien Mole
Vue de l’exposition « Contemporary Grotesques »
Galerie GP & N Vallois, Paris
10.06.2011 – 30.07.2011
© Aurélien Mole
Vue de l’exposition « Contemporary Grotesques »
Galerie GP & N Vallois, Paris
10.06.2011 – 30.07.2011
© Aurélien Mole
Vue de l’exposition « Contemporary Grotesques »
Galerie GP & N Vallois, Paris
10.06.2011 – 30.07.2011
© Aurélien Mole
Le travail de Keith Tyson, Lauréat du Turner Prize en 2002, met en place un univers d’images, de dessins, de sculptures, d’objets et de machines qui semblent aléatoires et infinies. Celles-ci participent d’une exploration méthodique de l’ensemble des connaissances théoriques et pratiques du monde, dans le dessein utopique et poétique de cerner la façon dont les choses adviennent. À la manière d’un alchimiste, Tyson crée des œuvres comme autant d’hypothèses sur la création, le chaos, et l’ordre du monde.
Avec la série Contemporary Grotesques (2009), Tyson poursuit son exploration des notions de déterminisme, de hasard, et de causalité en posant la question de la psychologie et du facteur humain face au déterminisme naturel. Cette série de sculptures figuratives est réalisée en résine polycarbonate recouverte d’une patine au graphite. Ces deux matériaux contiennent du carbone, un élément chimique que l’artiste évoque comme étant le plus fondamental d’un point de vue organique (tout être vivant en contient) et d’un point de vue artistique (le graphite est utilisé depuis des siècles dans l’encre de chine et la mine de plomb).
« Je souhaitais créer une série de ‘grotesques’, c’est à dire de monstres comme des gargouilles contemporaines.(…) Pour quelles raisons quelqu’un devient-il un ‘gothique’ morose et en vient-il à tirer sur ses camarades de classe tandis que telle autre personne choisit de devenir bodybuilder professionnel? Quelles forces invisibles agissent sur ces atomes de carbone et sur ces molécules organiques? »