Vue de l’exposition « La lettre lacérée – Affiches lacérées 1955 – 1992 »
Galerie GP & N Vallois, Paris
28.09.2007 – 10.11.2007
Vue de l’exposition « La lettre lacérée – Affiches lacérées 1955 – 1992 »
Galerie GP & N Vallois, Paris
28.09.2007 – 10.11.2007
Vue de l’exposition « La lettre lacérée – Affiches lacérées 1955 – 1992 »
Galerie GP & N Vallois, Paris
28.09.2007 – 10.11.2007
Vue de l’exposition « La lettre lacérée – Affiches lacérées 1955 – 1992 »
Galerie GP & N Vallois, Paris
28.09.2007 – 10.11.2007
Vue de l’exposition « La lettre lacérée – Affiches lacérées 1955 – 1992 »
Galerie GP & N Vallois, Paris
28.09.2007 – 10.11.2007
Vue de l’exposition « La lettre lacérée – Affiches lacérées 1955 – 1992 »
Galerie GP & N Vallois, Paris
28.09.2007 – 10.11.2007
Vue de l’exposition « La lettre lacérée – Affiches lacérées 1955 – 1992 »
Galerie GP & N Vallois, Paris
28.09.2007 – 10.11.2007
Vue de l’exposition « La lettre lacérée – Affiches lacérées 1955 – 1992 »
Galerie GP & N Vallois, Paris
28.09.2007 – 10.11.2007
Vue de l’exposition « La lettre lacérée – Affiches lacérées 1955 – 1992 »
Galerie GP & N Vallois, Paris
28.09.2007 – 10.11.2007
Pour la cinquième exposition que nous consacrons à la «saga» du Lacéré Anonyme, nous explorons cette année le thème de la Lettre Lacérée.
Mots (en 1999) reflétait déjà le goût de Villeglé pour l’écriture et son graphisme, Images (2001) était indéniablement l’un des thèmes les plus représentatifs des paysages urbains traversés par l’artiste au cours des cinquante dernières années, Sans lettres, sans figures (2003) se montrait l’exposition la plus proche de la Peinture Abstraite au sens classique du terme, et enfin Politiques ravivait tous les grands débats de l’histoire politique française, sans parti pris aucun.
La Lettre lacérée, quant à elle, est certainement la série la plus célèbre de l’artiste. «La Lettre lacérée. Le caractère typographique y pullule tellement que son entremêlement nous introduit par sa presque disparition vibratoire dans le domaine de l’heureusement illisible, de l’insaisissable mallarméen. Ce sont à l’origine les affiches des cinémas de quartier d’avant la crise, les affiches de théâtre ou de concert provenant des anciennes colonnes Morris ou du métro.»*
*in Jacques Villeglé, « La traversée Urbi & Orbi »